Affichage de 33–48 sur 49 résultats

MAYNADIER/DEGUÉ : PAIRE D’APPLIQUES DOUBLES ART DÉCO BRONZE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

690,00

Réf. 40411

Maynadier/Degué : paire d’appliques doubles Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques, à l’allure simple, sont d’une production du bronzier d’éclairage parisien Pierre Maynadier. Elles sont composées des platines ovales aux bordures ciselées. Deux bras d’appliques en lacet, forme très courante utilisée notamment en 1935 comme affiche du 25e salon des Artistes Décorateurs (voir image n° 10). Cette forme est faussement associée des nos jours, et sans aucun fondement, au décorateur Jules Leleu. Les bras d’appliques sont en lumière ascendante et ils sont équipés des cache-bélières coniques à huit pans. Chaque bras est équipé d’une graine conique en bronze massif. À noter que le monogramme de Pierre Maynadier, à savoir « MP 2 », suivi du numéro de la pièce 893 est présent à l’arrière de chaque platine (voir dernière image n° 9). Une barre d’accrochage est aussi présente à l’arrière.

La verrerie est composée de quatre coupelles avec bordures hexagonales en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des réserves claires en motifs de branchages. La verrerie, sans signature, est d’une production de la Verrerie d’art Dégué, fabriquées dans les Cristalleries de Compiègne, dans les dernières années de production. Les verreries pressées de cette dernière période sont caractérisées par l’utilisation des motifs très géométriques dans un jeu entre les parties polies et dépolies. Les parties polies font ressortir le motif utilisé. Dans ce même motif, on retrouve une vasque et aussi une tulipe. Il arrive très fréquemment que beaucoup des verreries produites à Compiègne ne soient pas signées. On parle souvent de « signature » mais en réalité, c’est tout simplement la marque de fabrication.

Les quatre points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre-vingts, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant qu’employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934, la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé auparavant à son oncle René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va dessiner la plupart de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre-Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960, elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAYNADIER/DEGUÉ: GRAND LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 390,00

Réf.10400

Maynadier/Degué : grand lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente, c’est une réalisation de Pierre Maynadier présent dans le catalogue du fabricant de l’année 1930, modèle 392 (voir image 13). Il est dans sa même configuration d’origine. Une monture en bronze argenté composée de quatre bras d’appliques aux motifs géométriques avec leurs griffes, élément très utilisé de sa production. Quatre tiges de suspension à section carré, égayées des décors géométriques. Un cache-bélière carré avec les mêmes motifs géométriques et une graine ou poignard très utilisé par le fabricant. À noter que le monogramme de Pierre Maynadier, à savoir « MP », est présent dans certaines pièces du lustre.

La verrerie est composée d’une vasque-obus en pyramide renversé en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques. Quatre tulipes assorties à la vasque complètent l’ensemble. La verrerie, sans signature, est d’une production de la Verrerie d’art Dégué, produite dans les Cristalleries de Compiègne, lesquelles on retrouve dans un catalogue du fabricant sous le numéro de modèle 553 pour la vasque et 519 pour les tulipes (voir images n° 14 à 17). Il arrive très fréquemment que beaucoup des verreries produites à Compiègne ne soient pas signées. On parle souvent de « signature » mais en réalité, c’est tout simplement un marquage de fabrication.

Cinq points lumineux à douilles baïonnette culot B22, dont quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre-vingts, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant qu’employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934, la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé auparavant à son oncle René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va dessiner la plupart de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre-Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960, elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAYNADIER/MULLER : LANTERNE SUSPENSION ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30406

Maynadier/Muller Frères : lanterne-suspension en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette élégante lanterne est présente dans un catalogue de Maynadier du début des années 1930 sous la référence n° 503 (voir image n° 10). Elle est constituée d’une monture en bronze argenté équipée d’un cerclage hexagonal aux décors géométriques, un fût central à section hexagonale est trois bras de tensions aussi aux motifs géométriques. Un cache-bélière étoilé qui reprend le thème de la géométrie. Le monogramme de Pierre Maynadier, est présent sur le cerclage, accompagné du numéro de modèle, à savoir, « 503 M P 3 ».

La verrerie est composée d’un obus hexagonal en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques. Le marquage de fabrication « P. Maynadier France » est visible à l’intérieur de l’obus (voir image n° 8). Cette verrerie est une exclusivité de Maynadier, fabriqué par Muller Frères dans son usine de Lunéville. On retrouve aussi cette verrerie dans un catalogue Maynadier de 1929, où il présente presque l’intégralité de ces modèles exclusifs (voir image n° 11).

Un seul point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre-vingts, était né au 3 place des Vosges, d’un père « garçon des recettes » et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant qu’employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934, la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé auparavant à son oncle René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va dessiner la plupart de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre-Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960, elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAYNADIER/SCHNEIDER : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10401

Maynadier/Schneider : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente, est une fabrication de Pierre Maynadier entre les années 1928 et 1932. La monture, en bronze argenté, est constituée d’une pièce centrale arrondie et à facettes d’où trois tiges et branches en appliques sont imbriquées. Des décors de roses modernes stylisées égayent l’ensemble. Le cache-bélière, en triangle aux bords tronqués et graine ou poignard, est une pièce largement utilisée chez Maynadier (voir image n° 13). Le monogramme de Pierre Maynadier, MP est présent sur la bordure extérieure des éxtremités des appliques.

La verrerie est composée de quatre tulipes Schneider en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs de boutons de fleurs stylisés. Toutes les tulipes sont frappées du marquage du fabricant « Schneider – France – 400 » (voir image n° 8). Il s’agit du modèle n° 400 du fabricant d’Épinay-sur-Seine.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre-vingts, était né au 3 place des Vosges, d’un père « garçon des recettes » et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant qu’employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934, la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé auparavant à son oncle René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va dessiner la plupart de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre-Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960, elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MODEL-VERDUN : LUSTRE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART, BRONZE NICKELÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 090,00

Réf. 10435

Model-Verdun : lustre Art Déco en ferronnerie d’art, bronze nickelé et verre moulé-pressé. Le modèle proposé ici à la vente, est constitué d’une monture en fer forgé dont un croisillon à la base et un fût à section carrée paré des décors en bronze fondu nickelé. À chaque extrémité du croisillon, un point lumineux avec ses cache-douilles en laiton nickelé. Un cache-bélière en pyramide tronquée et décors martelés. La verrerie est composée d’une vasque centrale de 35 cm de diamètre et quatre coupelles à gradins en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs rayonnants et des réserves claires. Cette verrerie, jamais marquée par son fabricant, est une production de Maurice Model et sa Cristallerie de Verdun. Ce modèle de verrerie était décliné en vasque, coupelles et tulipes aux coloris blanc ou rose. On retrouve le même traitement et les mêmes codes de fabrication dans d’autres modèles qui eux sont marqués par le fabricant. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22, dont deux à l’intérieur de la vasque et quatre par chaque coupelle.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Pour la livraison, vu ses dimensions, le lustre sera démonté partiellement.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MOUYNET, APPLIQUE ART DÉCO EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

480,00

Réf. 40378

Mouynet, applique Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une élégante applique, dont une platine en losange égayée des motifs géométriques. Un col d’applique descendant avec motifs perlés. Une barre d’accrochage à l’arrière permet sa fixation au mur. Le monogramme « MM » pour Maurice Mouynet, père fondateur de la maison Veuve Mouynet et fils dont le fils Henri prendra le relais à partir de 1923. Une tulipe en verre moulé-pressé aux motifs floraux et géométriques qui reprend les motifs perlés de l’applique. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Mouynet a été fondée en 1892 par Pierre Antony Marius Mouynet (Sète, 15 août 1853- Paris, 12 juin 1923), qui était tout d’abord un négociant voyageur (voir image 16 et 17). La première adresse professionnelle parisienne de Marius Mouynet était aux numéros 74-76 rue Amelot comme fabricant des bronzes d’éclairage. A la mort de son fondateur, son fils Henry Mouynet (Paris, 9 novembre 1885 – Cannes, 19 février 1969) reprend l’affaire familiale. Henry, avait obtenu en juillet 1907, le Diplôme d’Ingénieur de l’Ecole des Arts et Manufactures de Paris. La société reprise par Henri s’appellera par la suite Mouynet et Fils et continuera l’affaire commencé par le père à la même adresse jusqu’en 1926 en rajoutant à son activité la fabrication d’appareils d’éclairage : gaz, électricité et pétrole. Aux débuts des années 1920, Henri Mouynet et son épouse divorcée Jeanne Roche achètent un terrain à M. Orlin situé au 11 rue Etienne Marcel prolongée (aujourd’hui 5, rue Roger Verlomme 75003) et construisent en deux étapes la future nouvelle adresse du siège de la société. La activité continuera tout au long de la décennie jusqu’en janvier 1932 ou la veuve Mme Marius Mouynet et son fils Henri créeront entre eux une Société a responsabilité limitée d’un capital social de 640 000 francs pour la vente de tous appareils d’éclairage à gaz, d’électricité et de pétrole. Le siège social est fixé au numéro 11 rue Etienne Marcel prolongée et la durée de la Société est fixée à 20 ans à partir rétroactivement du 1 octobre 1931. Son seul et unique gérant sera Henry Mouynet à qui sa veuve mère lui donne les plans pouvoirs ; la société s’appellera alors Veuve Mouynet et Fils. Les premières difficultés financières commencent en 1933 et le siège de la société est transféré au 21 rue Mercœur. Henry Mouynet, à causes des emprunts hypothécaires qu’il ne peut pas rembourser dans les conditions prévues au Crédit Foncier de France. Il en résulte une « vente sur saisie immobilière » à la ‘Chambre des Criées’. Dans une « folle enchère », en 1937, l’immeuble revient par adjudication à M. Chaïm, dit Henri Markhbein (Rowno,1891), juif né en Russie et naturalisé français qui était un important marchant d’articles d’éclairage et de verrerie. Plus tard le siège de la Société Veuve Mouynet et Fils sera transféré au 38 rue d’Alsace à Courbevoie où elle sera déclarée en faillite en avril 1938 puis liquidée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MULATY : LAMPE ART DÉCO EN FERRONNERIE D’ART AVEC DÔME EN PÂTE DE VERRE BLANC ET BLEU

590,00

Réf. 20438

Mulaty : lampe Art Déco en ferronnerie d’art avec dôme en pâte de verre blanc et bleu. La lampe proposée ici à la vente est une production de la Société Anonyme des Verreries de la Mulatière à Lyon. Elle est constituée d’un pied de lampe en fer forgé estampé des petits cercles avec un socle à double embase : quatre pieds superposés sur un carré. Un fût à quatre lames qui finissent en support pour accueillir la verrerie. Un dôme en pâte de verre aux tonalités blanc et bleu dit « entre ciel et mer », comme soufflé par la brise marine. La signature « Mulaty Lyon » gravée à l’acide est présente presque à la bordure inférieure du dôme (voir images n° 5 et 7). Un seul point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La signature « Mulaty Lyon » était une des marques de fabrique de la Société Anonyme des Verreries de la Mulatière, commune située dans la métropole de Lyon. Les origines des Verreries à la Mulatière, selon les communiqués de la même société en 1930, elles remontent à 1857. En réalité, c’est bien quelques années auparavant, car les ciments de cette fabrication, on les retrouve dans la petite « Verrerie de la Ferratière » à La Guillotière propriété de Simon Pély (Saint-Martin-Du-Fresne, 1805 – Lyon, 1862). Ce dernier est associé, depuis 1851, à Joseph Fassion Labatie (Arzay, 1806 – Lyon, 1854) et au gendre de ce dernier, Barthélémy Joseph Bovagnet (La Guillotière, 1827 – Sainte-Foy-Lès-Lyon, 1883). Joseph Fassion Labatie venait d’une lignée de verriers du Dauphiné. Il sera tout d’abord ouvrier en verre à la Verrerie de Bonnevaux en Isère ; puis verrier à la Guillotière chez Lacombe en 1834 et à la Verrerie de la Grosse-Mouche en 1841, associé à son ancien patron Lacombe et à Simon Pély sous la dénomination Lacombe, Labatie et Pély. En 1850, une nouvelle association se produit sous la dénomination « Pély, Defassion et Bovagnet » pour l’exploitation d’une verrerie dite la « Ferratière », située au quartier de la Guillotière, lieu de la Mouche. Cette dernière société sera vendue par licitation en 1854. Avec la mort de son beau-père et la vente de la verrerie, Joseph Bovagnet retourne pour durant 21 ans à son premier métier comme marchand de porcelaines et de cristaux au 4 Place de la Fromagerie. Les Verreries de la Mulatière seront réellement créées en mars 1875 par Etienne Curtillet (Lyon, 1830-1892) et Joseph Bovagnet sous la dénomination « E. Curtillet et Bovagnet ». L’association ne durera alors que 13 mois, car elle sera dissoute en avril 1876, puis achetée par licitation par Joseph Bovagnet et son épouse Jeanne Simone Fassion Labatie (1834-1901). Bovagnet meurt six ans plus tard, et c’est sa veuve et son fils Claude Hippolyte dit Paul (Lyon, 1861-1950) qui reprenne l’affaire ensemble sous la dénomination « Verreries de la Mulatière Établissements Veuve Bovagnet ». Deux ans plus tard, en 1883, ils décident de vendre la société à Eugène Pierre Allouard (Monteynard, 1840 – Lyon, 1902), fabricant de soieries et sa femme Marie Noémie Dumont-Vuillet (1843-1928). La société sera alors connue comme les « Verreries Allouart-Dumont ». Elles seront aussi connues par un piètre résultat de gestion durant toute la période sous leurs mains, marquée notamment par la grève sanglante de 1886 et l’attentat contre Allouart et sa famille qui aurait pu leur coûter la vie. Allouard abandonne l’affaire et rétrocède la verrerie à ses anciens propriétaires qui devient les « Verreries Vve Bovagnet » avec à la direction son fils Paul qui restera à la tête jusqu’en 1904. Les verreries vont encore souffrir des transformations, notamment en 1897, avec la naissance de la Société Anonyme des Verreries de la Mulatière (Anciens Établissements Vve Bovagnet), puis l’entrée au marché de la Bourse. La production est réorganisée et étendue avec un développement plus important dans la fabrication de verreries d’éclairage : du verre blanc gravé et décoré, des pâtes de verre marque « Mulaty », ainsi que plus tard la production de verre moulé-pressé. Entre 1897 et la période du processus de faillite de la société, entre 1932-1935, les verreries ont connu des nombreux changements notamment dans la direction et ses actionnaires. En 1929, elle absorbe tout d’abord les Verreries Réunies du Lyonnais, puis dans la foulée la Société Française d’Électricité (Anciens Établissements Léon Constantin). Au début de l’année 1930, elle termine l’installation des nouveaux ateliers pour la fabrication de lustrerie en fer forgé, des lampes, d’appliques, entre autres. Désormais, une partie de la production de verrerie d’éclairage sera montée sur des luminaires en fer forgé fabriqués par la propre société. Le clap de fin définitif viendra le 9 avril 1937, lorsque la Mairie de La Mulatière ordonne les « travaux de démolition des bâtiments des « Verreries de la Mulatière » et l’enlèvement des matériaux en provenant. Vente du matériel, outillage, meubles divers se trouvant dans les immeubles à démolir.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO DES ANNÉES 1930, EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 40432

Paire d’appliques Art Déco des années 1930, en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques en bronze argenté avec le monogramme non identifié « LG » 912, est constituée d’une platine aux formes géométriques avec un bras ascendant et son cache-douille à godrons. Elles sont équipées des coupelles en verre moulé-pressé teinté rose avec décors de gouttes polies, puis une partie dépolie et un bord clair. Il se peut que cette verrerie soit une production SEVBA (Société d’Exploitation des Verreries de Bagneux et Appert Frères Réunies), qui avait réalisé des verreries d’éclairage marquées, dans le même esprit et la même facture.

Les deux points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES ART DECO DOUBLE FLAMME BRONZE ET LAITON ARGENTÉ FIN ANNÉES 1930

580,00

Réf. 40374

Paire d’appliques Art Déco double flamme en bronze et laiton argenté de la fin des années 1930. Cette élégante paire d’appliques à double flamme est une fabrication de la fin des années 1930. Les montures sont composées des platines ovales en bronze argenté. Deux bras ascendants égayés avec des décors en toupie avec des coupelles et des fûts cylindriques cannelés. Une barre d’accroche est présente à l’arrière de chaque platine. Les quatre points lumineux sont à douille à vis culot E14. Les ampoules ne sont jamais fournies avec les luminaires.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES DOUBLES ART DÉCO DES ANNÉES 1930 EN BRONZE DORÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

580,00

Réf.40433

Paire d’appliques Art Déco des années 1930, en bronze doré et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques en bronze doré, est constituée d’une platine aux motifs capitonnés et bordures avec une patine vert-de-gris. Deux bras d’appliques remontants avec des cache-douilles en laiton. Elles sont équipées des coupelles en verre moulé-pressé à gradins et aux tons mauves avec une partie dépolie et des bords clairs. Cette verrerie est une production Degué et les Cristalleries de Compiègne. Elles ne sont jamais signées et accompagnent souvent différents modèles de vasques. On les retrouve souvent en blanc, bleu ou rose.

Les quatre points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

PETITOT/SAINT-GOBAIN : LUSTRE-SUSPENSION ART DÉCO EN BRONZE CUIVRÉ ET GLACE DÉPOLIE

Réf. 10405

Petitot/Saint-Gobain : lustre-suspension Art Déco en bronze cuivré et glace dépolie. Cette moderne suspension dont la monture est en bronze fondu cuivré agrémentée de glaces de Saint-Gobain, est d’une fabrication de la maison Petitot (Alexandre Hubert, Paris, 1877-1938). La société avait été créée par Alexandre Adolphe Petitot (Paris, 1857), doreur au 11 rue Gît-le-Coeur père d’Alexandre Hubert et d’Auguste (Paris, 1883), bronzeur et polisseur sur métaux. Au début du XXe siècle, père et fils travaillent ensemble en tant que vernisseurs sur métaux. La maison Petitot avait ses quartiers à Paris au 10, rue Vert-Bois, tout près de la Place de la République. En 1939, après le décès d’Alexandre Hubert, la maison est recréée sous la dénomination Établissements Petitot, et sera active jusqu’en 2009. Après, elle a été absorbée par la Maison Lucien Gau.

Le modèle présenté ici à la vente, est produit à partir de 1934. On le retrouve notamment dans un catalogue des Établissements Donna, « Le Palais de la lustrerie » qui, était un des plus importants dépositaires des luminaires produits par Petitot (voir image n° 10). La monture est constituée d’un axe central traversé d’en bas en haut par une vasque et une boule en guise de raccord de fin de lustre. Deux fûts tubulaires qui font la liaison entre une grande boule en enfilade et une plus petite vasque en forme conique à trois gradins, puis suivie du cache-bélière. Le tout est agrémenté des trois ailettes en guise de jets d’eau. Les trois ailettes ainsi que le cerclage sur la grande vasque, sont réalisés par Saint-Gobain en verre rosé épais de 6 mm et gravé au jet de sable sur les deux faces. Ce modèle était aussi proposé sans le cerclage central en verre, comme on peut le constater dans la dernière image du catalogue de l’époque. Six points lumineux à douille baïonnette culot B22, dont trois dans la vasque inférieure et trois autres dans la vasque conique supérieure donnant un éclairage complètement indirect. Il faut prévoir trois ampoules dites « balles de golf » pour la partie inférieure et trois ampoules dites « flamme » pour l’éclairage supérieur.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

Out of stock

RENÉ LALIQUE : SUSPENSION-VASQUE ART DÉCO « DAHLIAS » 1921, VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30390

René Lalique : suspension-vasque Art Déco « Dahlias » 1921, verre moulé-pressé. Cette élégante suspension, présentée ici à la vente, est dans sa configuration d’origine, à savoir, monté avec des cordelettes et non un remontage fantasque comme malheureusement, on voit souvent.

Une magnifique vasque en verre blanc moulé-pressé patiné, modèle n° 2459, dénommée « Dahlias », et qui fut créée en 1921, selon l’incontournable spécialiste Félix Marcilhac dans son ouvrage « R. Lalique : catalogue raisonné de l’œuvre de verre. » (Les Éditions de l’Amateur, 1989 et 1994), page 671 (voir image n° 6). Selon Marcilhac, ce modèle figure dans le catalogue de 1928, et il avait été supprimé dans celui de 1932. C’est aussi un modèle qui n’a pas été repris à la fabrication après 1947. La signature « R. Lalique », est moulée dans la masse du verre (voir image n° 9). Il existe aussi en version d’applique demi-coupe « Dahlias », sous le n° 2011, en version applique de coin sous le n° 2015 et en version coupe sous le n° 384. La maison Lalique avait toujours privilégié le montage avec des cordelettes ou cordons torsadés. Ici, les cordelettes d’origine ont été remplacées par des nouvelles en tissu argent satiné, dû à un état trop dégradé. Le serre-câble d’origine à était restauré avec le même fil utilisé pour les cordelettes. Le cache-bélière, dit « Cannelé » modèle n° 2801 dans le catalogue, page 693, est une pièce d’accessoire de luminaires crée par Lalique en 1923, en verre blanc moulé-pressé satiné (moule n° 1698). Ce modèle figure aux catalogues de 1928 et de 1932 et sur le tarif de 1937, non repris après 1947 (voir image n° 8). Les accessoires de luminaires ne sont jamais signés. Quatre points lumineux à l’intérieur de la vasque, tous avec des douilles baïonnettes culot B22 (voir image n° 10).

Malgré une date de création de 1921, René Lalique fait exposer cette pièce à l’Exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels Modernes de Paris en 1925, selon le « Rapport général » de la section artistique et technique (voir images 13 et 14).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

SCHNEIDER : SUSPENSION VASQUE ART DÉCO EN FERRONNERIE D’ART ET PÂTE DE VERRE

540,00

Réf. 30418

Schneider : suspension vasque Art Déco en ferronnerie d’art et pâte de verre moucheté blanche. La suspension ici en vente, est constituée d’une monture en fer forgé avec trois tiges à suspente à section carrée avec un creux pour le passage des câbles électriques, trois points d’attache avec des décors de feuilles de vigne vierge et un cache-bélière rond martelé. La vasque, d’un diamètre de 40 cm, est en pâte de verre mouchetée blanche du fabricant d’Épinay-sur-Seine Charles Schneider. La signature à était sans doute effacée par le temps. Certaines pâtes de verre provenant de cette production présentent un marquage fantomatique du fabricant, car elles étaient gravées très superficiellement. Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

SUSPENSION-LANTERNE ART DÉCO DE 1934 EN FERRONNERIE D’ART ET VERRE DÉPOLI BLANC

640,00

Réf. 30409

Suspension-lanterne Art Déco de 1934 en ferronnerie d’art et verre dépoli blanc. Cette élégante création est une fabrication d’un ferronnier d’art du pays de l’Hérault, conçue dans un ensemble de ferronneries pour une demeure dans la même région construite en 1934. Elle faisait partie d’un ensemble de pièces de décoration dont le ferronnier était à la charge. Parmi les réalisations pour cette demeure, on dénombre une rampe d’escalier, des grilles, et des luminaires dont le même motif décoratif était présent sur toutes les réalisations. La lanterne présentée ici à la vente, trônait à l’entrée, non loin de la rampe d’escalier qui desservait l’étage supérieur. Sa structure est conçue en cage de quatre ouvertures, plus une autre ouverture carrée au fond. Chaque ouverture est ornée d’un décor végétal stylisé. Quatre chaînes font le lien avec le cache-bélière à la forme pyramidale renversée.

La verrerie est composée de quatre panneaux en verre dépoli blanc plus un panneau carré au fond de la lanterne. Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

SUSPENSION-LANTERNE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART AVEC GRAND GLOBE SKYSCRAPER

690,00

Réf. 30395

Suspension-lanterne Art Déco ferronnerie d’art avec grand globe skyscraper. La suspension proposée ici à la vente est constituée d’une monture en fer forgé martelé et estampée. Une partie centrale en couronne conique tronquée avec six languettes, dont trois finissant en volutes. Trois chaînes et un cache-bélière estampé et égayé des languettes bifides. Un grand globe dit « skyscraper » en verre moulé-pressé dépoli blanc.

Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22. Cette suspension peut être équipée d’une ampoule d’une puissance en LED équivalente à 100 watts.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).