Affichage de 65–80 sur 99 résultats

Out of stock

LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL-CRISTALLERIE DE VERDUN BRONZE CHROMÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10331

Lustre Art Déco Maurice Model – Cristallerie de Verdun en bronze chromé et verre moulé-pressé. Une monture en bronze chromé composée de trois tiges richement décorées d’un motif dit persan stylisé. Trois bras en appliques qui soutiennent la vasque centrale, décorés dans le même style. Des caches-douilles à double gradin en laiton chromé. Le cache-bélière, aussi en bronze chromé est richement décoré. La monture est frappée par le monogramme en grandes capitales M. M. à l’intérieur d’un rectangle, monogramme qui désigne une ligne de fabrication d’appareils d’éclairage créée par Maurice Model au début des années 1930.

La verrerie, composée d’une vasque centrale et trois coupelles en verre moulé-pressé couleur « champagne » à motifs rayonnants et géométriques, sont fabriquées à la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie tout de même des verreries produites à Verdun. On ignore pourquoi certaines verreries ne sont pas signées. Une hypothèse possible est que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage ainsi que celle destinée aux différents revendeurs, était celle qui n’était pas signé. On retrouve le modèle ici proposé sur un catalogue de 1935 (voir image n° 17 et 18) de FACEN (Fabrique d’Appareillage et des Câbles Electriques du Nord), société qui commercialisait, entre autre, des nombreuses luminaires de Maurice Model. Dans ce catalogue le modèle est appelé « Lustre Persane » (voir image n°17). Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

LUSTRE ART DÉCO NOVERDY BRONZE DORÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ SUR LE THÈME DE LA VIGNE

Réf. 10288

Lustre Art Déco NOVERDY en bronze doré et verre moulé-pressé sur le thème de la vigne. Belle monture en bronze doré et ciselé, constituée de trois branches en appliques, chaînes et cache-bélière finement travaillé de décoration végétale. Une vasque centrale (Ø35cm)et trois tulipes en verre moulé-pressé dépoli blanc signé « Noverdy France » uniquement sur la vasque (les tulipes en verre moulé-pressé de cette maison ne sont que rarement signés à différence de la production en pâte de verre). La signature Noverdy (par contraction « Nouvelles Verreries de Dijon » était tout simplement la « Société Anonyme des Verreries de Dijon » au Petit-Bernard, propriété de la famille Drouhot dont le père banquier et industriel René Drouhot était le président, le fils Félix Jean Drouhot et le beau-fils Ernest Rivoire étaient administrateurs. Mais c’est surtout Félix Jean Drouhot (Dijon, 1899 – 1944) qui était à la tête de la partie artistique et qu’on annonce comme « Maitre de verreries » dans le « Journal of the Society of Glass Technology » de 1924 avec la complicité de l’administrateur-directeur le belge Jean-Louis Kinot (1890 – Paris, 1960), ingénieur-verrier, qui alla travailler et administrer quelques années plus tard chez la concurrence aux Cristalleries de Compiène, dirigées par David Guéron. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

LUSTRE ART DÉCO NOVERDY BRONZE VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10290

Lustre Art Déco Noverdy en bronze vieil argent et verre moulé pressé. Une belle monture en bronze vieil argent avec trois branches en appliques et ces caches-douilles le tout égayé des décors ciselés sur le thème du rosier en fleur. Trois arques qui enferment un point lumineux avec son cache douille. Un élégant cache-bélière qui reprend le décor de feuilles du rosier. La monture présente le monogramme « LL », probablement du fabricant d’appareils d’éclairage parisien Louis Lelief (Paris, 1886 – 1950) qui avait sa manufacture premièrement au 16 rue Villehardouin et puis au 28 rue Saint-Claude, toute les deux dans le troisième arrondissement.

La verrerie est composée de quatre tulipes en verre moulé-pressé aux fruits et à la pomme de pin stylisés. Il s’agit ici des verreries non signées (les tulipes en verre moulé-pressé chez Noverdy n’étaient jamais signées) et bien connues produites par la « Société Anonyme des Verreries de Dijon » au Petit-Bernard, propriété de la famille Drouhot dont le père banquier et industriel René Drouhot était le président, le fils Félix Jean Drouhot et le beau-fils Ernest Rivoire étaient administrateurs. Mais c’est surtout Félix Jean Drouhot (Dijon, 1899 – 1944) qui était à la tête de la partie artistique et qu’on annonce comme « Maitre de verreries » dans le « Journal of the Society of Glass Technology » de 1924 avec la complicité de l’administrateur-directeur le belge Jean-Louis Kinot (1890 – Paris, 1960), ingénieur-verrier, qui alla travailler et administrer quelques années plus tard chez la concurrence aux Cristalleries de Compiène, dirigées par David Guéron. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

LUSTRE ART DÉCO SCHNEIDER BRONZE FONDU ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10307

Lustre Art Déco Schneider en bronze fondu argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze fondu argenté composé de trois bras en applique en bronze avec décor floral stylisé et ses cache-douilles. Trois tiges à quatre pans et un cache-bélière hexagonal à double gradin et poignard de fin. La verrerie est de la maison Schneider (Charles, 1881-1953) – (Ernest, 1877-1937). Elle est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé blanc aux motifs géométriques festonnée d’un décor de feuillages stylisés. La vasque et les tulipes ne sont pas signés mais c’est un modèle connu de la maison d’Épinay-sur-Seine. Seule la vasque présente le marquage « France 1030 », indication du numéro de modèle de la verrerie. Les quatre points lumineux, un dans la vasque et trois en appliques sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE-SUSPENSION ART DÉCO FERRONNERIE D’ART GLOBES DE LA VERRERIE DES VOSGES

1 180,00

Réf. 10376

Lustre-Suspension Art Déco en ferronnerie d’art et globes de la Verrerie des Vosges. Élégant lustre-suspension en fer forgé dont la monture simple est constituée de quatre tiges en qui groupent quatre fines barres tendues. Un cache-bélière circulaire à la platine étampée reposant sur un cerclage. Trois volutes d’accroche égayées de feuilles de Ginkgo biloba. À chaque extrémité des tiges, des larges griffes à godrons soutiennent quatre globes, appelés « Les Coquilles », en verre moulé-pressé rose poudré, dépoli à l’acide de la Verrerie des Vosges, à Lutzelbourg (Moselle). Ce modèle de globe n’est jamais signé, modèle qui avait été décliné comme pied de lampe ou comme vase (voir images n° 12). La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment, c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy », c’est tout simplement une invention sortie de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélas ! les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

LUSTRE-SUSPENSION MODERNISTE ART DÉCO EN SPIRALE BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ

Réf. 10365

Lustre-suspension moderniste Art Déco en Spirale bronze argenté et verre moulé. Le lustre proposé ici à la vente, d’une ligne très moderniste et épurée, est d’une fabrication des années 1930. Il est composé d’une monture en spirale, traversée telle une flèche par une tige centrale, ornée vers le bas, d’une boule et une fin de lustre tournée à différents gradins qui font suivre un certain mouvement. La même tige est égayée plus haut d’une série de trois coupelles en forme d’écuelle au fond plat. Un cache-bélière conique à gradins de sillons. Trois globes en verre moulé blanc aux décors de craquelure. Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAURICE MODEL – CRISTALLERIE DE VERDUN APPLIQUE DOUBLE ART DECO BRONZE ARGENTÉ

Réf.40349

Maurice Model – Cristallerie de Verdun applique double en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze argenté composée d’une platine en forme d’écusson de chasse et décor poinçonné au marteau. Deux bras d’appliques décorés et deux cache-douilles en laiton argenté avec petite boule de finition vers le bas. La monture ne présente pas de monogramme sauf numéro de modèle donc elle n’a pas pu être identifiée. Deux coupelles en verre moulé-pressé blanc aux motifs d’étoiles de David et géométriques qui sont d’une fabrication de la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. Les coupelles ne sont pas signées, d’ailleurs elles ne le sont jamais, sauf sur certaines vasques apparaît la mention moulé dans le verre « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France ». Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAURICE MODEL/VERDUN/PRIMAFLORE : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10355

Maurice Model / Verdun / Primaflore : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente, est d’une fabrication des années 1930, constitué d’une monture en bronze fondu argenté sur le thème floral. Trois branches à section carré avec trois appliques avec des décors fleuris. Un cache-bélière ou pavillon en bronze qui reprend les motifs végétaux des appliques. La verrerie signée « Primaflore France », est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli satiné blanc. La signature « Primaflore » est une production de Maurice Model dans sa Cristallerie de Verdun. Ce modèle de verrerie fleurie, était un thème cher de Maurice Model qu’il va reproduire sous différents modèles tout au long de sa production. On pense, que la signature « Primaflore » était destinée à une commande spéciale pour les Grands Magasins du Printemps à Paris et non une ligne de production qui était destinée à une commercialisation plus large auprès des différents fabricants d’éclairage. D’ailleurs, sous cette signature, il existe uniquement ce modèle, souvent décliné en vasque et en tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

 

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

MAYNADIER : LAMPE DE TABLE FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ BLANC

Réf. 20357

Maynadier : lampe de table ferronnerie d’art et verre moulé-pressé blanc. La lampe proposée ici à la vente est une production de Pierre Maynadier des années 1930 dont on peut retrouver des éléments très caractéristiques de son esthétique du travail du fer forgé. La lampe, conçue d’un seul corps, est constituée d’une base pyramidal estampée. Trois tiges remontantes égayées de trois roues-fleurs très présentes dans la production fer forgé de Maynadier (voir images 6 et 9). Un cerclage-griffe avec ses trois vises de serrage. Un grand globe en verre moulé-pressé blanc aux motifs « bouquet d’hortensias ». On peut trouver le même traitement du luminaire mais souvent présenté comme « lanterneau » selon la dénomination du propre Maynadier dans ces catalogues (Voir images 9 et 10). Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MOUYNET, APPLIQUE ART DÉCO EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

480,00

Réf. 40378

Mouynet, applique Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une élégante applique, dont une platine en losange égayée des motifs géométriques. Un col d’applique descendant avec motifs perlés. Une barre d’accrochage à l’arrière permet sa fixation au mur. Le monogramme « MM » pour Maurice Mouynet, père fondateur de la maison Veuve Mouynet et fils dont le fils Henri prendra le relais à partir de 1923. Une tulipe en verre moulé-pressé aux motifs floraux et géométriques qui reprend les motifs perlés de l’applique. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Mouynet a été fondée en 1892 par Pierre Antony Marius Mouynet (Sète, 15 août 1853- Paris, 12 juin 1923), qui était tout d’abord un négociant voyageur (voir image 16 et 17). La première adresse professionnelle parisienne de Marius Mouynet était aux numéros 74-76 rue Amelot comme fabricant des bronzes d’éclairage. A la mort de son fondateur, son fils Henry Mouynet (Paris, 9 novembre 1885 – Cannes, 19 février 1969) reprend l’affaire familiale. Henry, avait obtenu en juillet 1907, le Diplôme d’Ingénieur de l’Ecole des Arts et Manufactures de Paris. La société reprise par Henri s’appellera par la suite Mouynet et Fils et continuera l’affaire commencé par le père à la même adresse jusqu’en 1926 en rajoutant à son activité la fabrication d’appareils d’éclairage : gaz, électricité et pétrole. Aux débuts des années 1920, Henri Mouynet et son épouse divorcée Jeanne Roche achètent un terrain à M. Orlin situé au 11 rue Etienne Marcel prolongée (aujourd’hui 5, rue Roger Verlomme 75003) et construisent en deux étapes la future nouvelle adresse du siège de la société. La activité continuera tout au long de la décennie jusqu’en janvier 1932 ou la veuve Mme Marius Mouynet et son fils Henri créeront entre eux une Société a responsabilité limitée d’un capital social de 640 000 francs pour la vente de tous appareils d’éclairage à gaz, d’électricité et de pétrole. Le siège social est fixé au numéro 11 rue Etienne Marcel prolongée et la durée de la Société est fixée à 20 ans à partir rétroactivement du 1 octobre 1931. Son seul et unique gérant sera Henry Mouynet à qui sa veuve mère lui donne les plans pouvoirs ; la société s’appellera alors Veuve Mouynet et Fils. Les premières difficultés financières commencent en 1933 et le siège de la société est transféré au 21 rue Mercœur. Henry Mouynet, à causes des emprunts hypothécaires qu’il ne peut pas rembourser dans les conditions prévues au Crédit Foncier de France. Il en résulte une « vente sur saisie immobilière » à la ‘Chambre des Criées’. Dans une « folle enchère », en 1937, l’immeuble revient par adjudication à M. Chaïm, dit Henri Markhbein (Rowno,1891), juif né en Russie et naturalisé français qui était un important marchant d’articles d’éclairage et de verrerie. Plus tard le siège de la Société Veuve Mouynet et Fils sera transféré au 38 rue d’Alsace à Courbevoie où elle sera déclarée en faillite en avril 1938 puis liquidée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO CHARLES RANC – SCHNEIDER BRONZE ET LAITON ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE

Réf. 40326

Paire d’appliques Art Déco Charles Ranc – Schneider en bronze et laiton argenté et pâte de verre moucheté blanc. Cette paire d’appliques est constitué d’une monture en bronze et laiton argentés frappées du monogramme CR qui désigne la maison de bronzes d’éclairage Charles Ranc, devenue en 1928 la société en commandite simple « Ranc Frères », suite à la mort de son fondateur en 1927. Les deux platines ovales sont en laiton argenté sur lesquelles deux bras en bronze argenté à la forme de pipe ou de corne soutiennent deux coupelles en céramique blanche mouchetée. Deux coupelles en pâte de verre mouchetée blanche typiques de la maison Schneider non signées. A signaler deux petites cabosses sur une des platines en laiton à peine perceptibles.

La maison parisienne Charles Ranc fût fondée en 1909 par l’ardéchois Charles Eugène Frédéric RANC (Rocles, 1871 – Paris, 1927) au 64 rue de la Folie Méricourt. La maison Ranc est distinguée par la qualité de ses bronzes et le fin travail de ciselage. Une belle production d’appareils d’éclairage qui va se perpétuer avec ces fils, après le décès de son fondateur. La maison Charles Ranc devient alors Ranc Frères. Elle regroupait les enfants de Charles dont Eugène-André (Lyon, 1898), Charles-Clément (Lyon 1899), Auguste-Etienne et Madeleine-Henriette, devenue Mme Paul-Jules Berjot. La adresse de la maison fût transférée en 1930 au 97 rue Oberkampf. La société est restée active au moins jusqu’aux années 1990. Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES ART DECO DOUBLE FLAMME BRONZE ET LAITON ARGENTÉ FIN ANNÉES 1930

580,00

Réf. 40374

Paire d’appliques Art Déco double flamme en bronze et laiton argenté de la fin des années 1930. Cette élégante paire d’appliques à double flamme est une fabrication de la fin des années 1930. Les montures sont composées des platines ovales en bronze argenté. Deux bras ascendants égayés avec des décors en toupie avec des coupelles et des fûts cylindriques cannelés. Une barre d’accroche est présente à l’arrière de chaque platine. Les quatre points lumineux sont à douille à vis culot E14. Les ampoules ne sont jamais fournies avec les luminaires.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

PAIRE D’APPLIQUES ART DECO DOUBLES FEUX BRONZE ARGENTÉ ET VERRE SOUFFLÉ ET MOULÉ

Réf. 40388

Paire d’appliques Art Déco doubles feux en bronze argenté et verre soufflé et moulé. Cette élégante paire d’appliques à doubles feux est d’une production de la fin des années 1930. Les montures sont composées de platines en losanges tronqués, d’où deux bras à cols remontants, se dressent, égayés par une enfilade en verre soufflé torsadé. Chaque platine, comporte vers le bas, les mêmes enfilades des pièces en verre soufflé torsadé. Chaque bras de lumière est surmonté des caches douilles en laiton argenté. La verrerie est composée de quatre coupelles à bords hexagonaux en verre moulé dépoli blanc avec des réserves claires taillées à la roue. À l’arrière de chaque applique, une barre d’accrochage est présente pour la fixation au mur. À signaler quelques infimes micros ébréchures sur le bord supérieur d’une ou deux coupelles. Les quatre point lumineux sont à douilles baïonnettes culot B22. Dans un souci esthétique, il est recommandé d’utiliser des petites ampoules dont la partie en verre est plus petite que les ampoules sphériques dites « balle de golf ».

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO M. HUDRY/DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

690,00

Réf. 40383

Paire d’appliques Art Déco Marcel Hudry/Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques en bronze argenté est frappée à l’arrière de la platine du monogramme MH correspondant au fabricant de luminaires parisien Marcel Hudry. Marcel Alexandre Hudry (Paris 1889 – 1952), électricien de formation, créa en septembre 1921, son commerce et sa fabrique de bronzes d’éclairage et d’électricité au 13 rue de Crussol dans le 11e arrondissement parisien (voir images 17 et 18), une reprise de l’ancienne fabrique des bronzes d’art d’A. Jourdan. La société d’Hudry, fera faillite en 1935.

La paire d’appliques ici proposée à la vente est présente dans un catalogue du fabricant du début des années 1930, avec la même platine, mais avec un changement dans le traitement du col (voir image 11). Le cache-douille, très caractéristique chez le fabricant, on peut le retrouver comme élément dans une fin de lustre proposé dans le même catalogue (voir image 12). Une barre d’accrochage est présente à l’arrière de chacune des appliques. La verrerie est composée de deux tulipes en verre moulé-pressé blanc de la maison Degué aux décors des crosses en épanouissement. Cette verrerie, jamais signée, correspond à une série réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne. Le numéro de modèle est le 510 (voir image de 14) et c’est un des modèles les plus petits sortis de l’usine de Compiègne. La désignation dans le catalogue de l’époque est celle de « Tulipe décor moderne » (voir image 15). Il existe aussi une vasque aux mêmes décors qui mesure 30 cm sous la référence 513 sur le même catalogue. Un point lumineux à douille baïonnette, culot B22, dans chacune des appliques.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Out of stock

PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO MARCEL BAISE BRONZE ET VERRE ÉMAILLÉ

Réf. 40305

Paire d’appliques Art Déco Marcel Baise bronze et verre émaillé. Cette paire d’appliques en bronze doré sont frappées de la signature « M. Baise » (voir photo n° 11), Marcel Ludovic BAISE, sculpteur, (Paris, 1894 – Lège-Cap-Ferret, 1982). Fils d’un employé de chemin de fer, le jeune Marcel commença une carrière en tant que ciseleur, puis il deviendra monteur en bronze en parallèle à la sculpture, sa passion. Durant la Guerre de 14-18 il connaîtra une bordelaise qu’il épousera en 1916, et s’installera définitivement en 1921 à Bordeaux, au 32 et 33 rue de Belfort ou il va continuer son activité. La paire d’appliques ici proposées de la fin des années 1920, sont finement ciselées sur le thème végétal : vigne et glycine. Les deux montures malgré leurs ressemblances ne sont pas identiques quand à la décoration : une sur le thème de la vigne, l’autre sur le thème de la glycine. C’est un choix du créateur. Deux belles tulipes en verre moulé émaillé sur le thème de la glycine aux tonalités rouges, bordeaux et blanc. Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO VERRERIE DES VOSGES BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

650,00

Réf.40335

Paire d’appliques Art Déco Verrerie des Vosges en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques est constituée d’une monture en bronze argenté sur le thème des roses modernes. Les longues platines richement décorées d’un bouquet de roses avec ces feuilles et tiges épineuses. Un bec ou col tubulaire lisse. Deux tulipes en verre moulé-pressé (non signées) aux dessins de roses modernes, produites par la Verrerie des Vosges et commercialisées, entre autres, par Aubin Ollier et Cie. On retrouve les tulipes dans un catalogue du fabricant ainsi que dans celui du grossiste (voir images 12-14). Les points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment, c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy » c’est tout simplement une invention sortie de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélas ! Les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »