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LUSTRE ART DÉCO BRONZE VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10300

Lustre Art Déco en bronze vieil argent et verre moulé dépoli blanc. Une belle monture en bronze vieil argent sur un thème végétale stylisé. Trois branches-appliques avec des décors des fruits et végétaux. Trois tiges ornementées qui relient avec le cache-bélière richement décoré sur le même thème. Cette monture est probablement sortie des ateliers de Francis Hubens donc la société se trouvait au 68 rue des Archives, car on retrouve deux éléments largement utilisés par cette maison à savoir le poignard ou pointe de fin de lustre (voir image n° 9) et le cache-douille central (voir image n°10). La verrerie est composée de quatre tulipes à six pans en verre moulé dépoli blanc. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un au centre.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO CÉLESTIN JAMAIN EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10340

Lustre Art Déco Célestin Jamain en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la maison Célestin Jamain présent dans le catalogue du fabricant de 1933 (voir images n° 15 et 16). Il est constitué d’une monture en bronze argenté et ciselé. Une partie centrale faite d’un cerclage aux motifs géométriques ciselés avec le monogramme « C. J. » correspondant à Célestin Jamain (voir image n° 12). Trois bras en appliques aux décors de volutes et ses cache-douilles à double gradin. Trois tiges en bronze fondu relient le tout avec le cache-bélière en bronze aux motifs rayonnants. La verrerie est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et rayonnants. Cette verrerie n’est pas signée, elle est sans doute un modèle exclusif de la maison Jamain qui, depuis sa création au XIX siècle, avait produit et commercialisée des verreries d’éclairage. Le modèle de verrerie ici utilisé reproduit les mêmes motifs que sur la frise du cerclage en bronze. Célestin Jamain lui-même était membre de la Chambre Syndicale de la Céramique et de la Verrerie, introduit en 1922 par Naud et Apcher. La maison Jamain faisait aussi appel à des verreries tels Degué, Schneider, etc, pour équiper ces appareils d’éclairage. Quatre points lumineux à douilles baïonnette culot B22 trois quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison JAMAIN est une ancienne entreprise qui commence son activité à la fin des années 1870. Hippolyte Louis Eugène JAMAIN, père de Céléstin JAMIN, était un fabricant d’articles d’éclairage qui en 1881, achète et s’associe à la Maison Laurent (ancienne maison Fontaine), fabricants d’articles d’éclairage au 216 rue Saint-Martin. C’est alors qui naît la Maison Jamin-Laurent. Entre temps, le père Jamain crée une autre société en 1886 « Jamain et Callerot » au 17 et 19 rue Gambey pour la fabrication de lampes et de verreries d’éclairage. Tant Jamain-Laurent comme Jamain et Callerot vont fabriquer de la verrerie d’éclairage. La société Jamain et Callerot sera dissoute en 1888, et seulement celle de Jamain-Laurent continuera son activité. En 1905, le fils, Hippolyte Célestin JAMAIN (Paris, 1878), représentent de commerce, prend la tête de la société qui s’appellera désormais C. JAMAIN, fabrique de bronzes d’éclairage, puis Établissements C. JAMAIN jusqu’en 1945. À partir de cette date un des fils de Célestin, Jacques Ernest JAMAIN (1916 – 2008), ancien joueur français de tennis, prend la direction, elle sera encore active aux moins jusqu’aux années 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ DÉPOLI

Réf. 10324

Lustre Art Déco Charles Boulanger en bronze argenté et verre moulé dépoli. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à trois bras d’appliques, trois tiges et un cache-bélière à godrons modernes. Quatre points lumineux avec ses caches-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Quatre tulipes à six pans en verre moulé dépoli d’une teinte dégradée mauve. Chaque douille est frappée du monogramme de Charles Boulanger, à savoir CH. B.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER-DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

990,00

Réf. 10350

Lustre Art Déco Charles Boulanger et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à six pans sur laquelle six branches en appliques diffusent la lumière. Une tige centrale aussi à six pans et un cache-bélière dans le même esprit. À la fin de chaque bras d’applique des cache-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Six tulipes Degué en verre moulé-pressé rose poudré ou « Rosaline » avec des reserves claires, qui ne sont jamais signées. Seules les vasques correspondantes au même modèle sont signées, elles correspondent aux dernières créations sorties de la Cristallerie de Compiègne. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO DEGUÉ « LES FAISANS », BRONZE, LAITON, BOIS VERNIS ET VERRE MOULÉ

840,00

Réf 10310

Lustre Art Déco Degué en bronze doré, laiton, laiton cuivré, bois et verre moulé. Une monture qui s’imbrique autours d’un fût central en bois de noyer vernis faisant aussi office de gaine de la tige centrale qui est en laiton cuivré. Quatre branches en bronze fondu doré, égayées chacune d’un décor de faisan finement ciselé. Chaque branche comporte un cache-douille à gradins surmontés de quatre coupelles en verre moulé dit « Rosaline » à étage ondulé, dépoli au sable fin, avec bande claire sur le bord et filets clairs en étages à étage ondulé, dépoli au sable fin, avec bande claire sur le bord et filets clairs en étages (selon description du fabricant dans son catalogue). Cette verrerie fait partie des créations Degué et des Cristalleries de Compiègne, présente dans un catalogue des années 1930 du fabricant (voir image 14). Les coupelles ne sont jamais signées. Le cache-bélière est aussi en laiton cuivré. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO ÉMILE DOMAINE BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ ET GRAVÉ

Réf.10282

Lustre Art Déco ÉMILE DOMAINE en bronze argenté et verre moulé et gravé. Bel réalisation pour cet lustre du bronzier d’éclairage parisien Émile Domaine né en 1879 à Saint-Nicolas, dans la vallée d’Aoste, en Italie. Domaine, associé à Sagnol avait leur fabrique de bronzes d’éclaira au 126 rue Saint-Maur dans le 11ème arrondissement de Paris. Pendant leur période d’association « Domaine et Sagnol » utilisaient le monogramme « DS » pour signer leur réalisations. Puis Domaine reste seul dans la société qui devient « Établissements Domaine » (monogramme de signature « ED ») qui sera reprise en 1930 sous la dénomination « Anciens Établissements Domaine » jusqu’à sa faillite en en août 1937. Le modèle ici à la vente est de la fin des années 1920, il est en bronze argenté aux décors floraux stylisées. Trois lumières en appliques avec des tulipes en verre moulé dépoli blanc gravées à la roue. Une partie centrale accueille un grand globe en verre moulé dépoli blanc gravé à la roue avec un motif dit « jeux d’orgue », décor très utilisé dans la verrerie d’éclairage des premiers trente années du XXème siècle. Un beau cache-bélière riche d’un décor floral ciselé. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur du globe central.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

 

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LUSTRE ART DÉCO HETTIER & VINCENT BRONZE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10320

Lustre Art Déco HETTIER & VINCENT en bronze et verre moulé-pressé. Une dentelle de ciselage en bronze doré pour cette réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929, et proposée en deux versions : une avec les chaînes dite « à gorge » et une autre avec des tiges rigides creuses en bronze fondu (voir images 14 et 15). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaire et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges (voir image 17). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 7305 dans le catalogue du fabricant ), est composé d’une partie centrale en forme de coupe ciselée qui évoque une dentelle avec des formes modernes. Quatre bras en appliques avec les caches-douilles à gaudrons très caractéristiques de la maison. Quatre chaînes dites « à gorges » (voir image 16) qui permettaient le passage discret des câbles électriques. Un cache-bélière richement décoré et utilisé par Hettier & Vincent, au même titre que le poignard de fin de lustre, tout au long de leurs productions dès la fin des années 1920 jusqu’aux années 1930. Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes en verre moulé-pressé dépoli blanc à taille diamant dont la fabrication n’a pas pu être identifiée. Hettier & Vincent, comme la plupart de fabricants, proposaient différentes verreries pour leurs créations. Le modèle en question était présenté dans leur catalogue de 1929 avec des tulipes en verre moulé-pressé de Baccarat (images 14 et 15),  mais ils pouvaient être montés avec d’autres modèles de tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LÉON BONVOISIN BRONZE ARGETÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10346

Lustre Art Déco Léon Bonvoisin bronze argenté et verre moulé-pressé. Belle monture en bronze argenté de la maison Léon Bonvoisin. Elle est composée d’une pièce centrale circulaire en bronze ciselé avec de volutes est des motifs floraux. Six bras en appliques aux motifs jets d’eaux. Six tiges rectangulaires et un cache-bélière richement décoré. Le monogramme de la maison Léon Bonvoisin « LB » est présent sur chaque élément du lustre (voir image n° 16). La verrerie est composée d’une petite vasque centrale en verre dépoli blanc et six tulipes en verre moulé-pressé blanc a six pans et une frise base aux motifs floraux. Les sept points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont six en appliques et un dans la coupelle centrale.

La maison Mizery et Bonvoisin fut créée en 1893 par Breton et Fils au 28 rue de Lyon. En 1899 elle est rachetée par Jules Mizery qui s’installe après dans une nouvelle adresse au 25 rue Amelot. La société fabriquait de l’appareillage électrique ainsi que des bronzes d’éclairage. Le mariage en 1904 de la fille Mizery, Thérèse Juliette avec Léon Etienne Bonvoisin (1878-1946), employé de commerce fait rentrer ce dernier dans la famille du fabricant d’appareillage électrique avec qui il va s’associer en 1913 pour créer une nouvelle société en nom collectif : Mizery et Bonvoisin. La maison s’agrandi et elle ouvre en 1919 des locaux au 35 boulevard Richard Lenoir et une usine à Vincennes. Une dissolution de la société Mizery et Bonvoisin est appliquée en 1921 et désormais Léon Bonvoisin succède à son beau-père. Bonvoisin fût le maire de Vincennes entre 1929 et 1944. Membre de la Légion d’Honneur il fut aussi trésorier de la Chambre Syndicale des Fabricants des Bronzes et président du Syndicat des Constructeurs d’appareillage Électrique et de matériel électrique. Pour la fabrication de ses appareils d’éclairage, Bonvoisin fait appel souvent à différents créateurs et décorateurs d’entre les deux guerres tels Georges Chevalier, Jacob et Georges Dunaime avec ce dernier il obtient le diplôme d’Honneur à l’Exposition des Arts Décoratives de 1925. Son fils Pierre Bonvoisin avait signé une bonne partie des créations de la maison Bonvoisin. Lors de la rénovation de l’Hôtel de Ville de Vincennes entre 1932 et 1935, Bonvoisin se charge de la partie luminaires. En 1937 la société rencontre des difficultés de trésorerie mais elle sera recréée en 1938 sous la dénomination Établissement Bonvoisin S. A.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LÉON HUGUE BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10332

Lustre Art Déco Léon Hugue en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Belle monture en bronze argenté de la maison Léon Hugue de la fin des années 1920. Elle est constituée d’une partie centrale avec six bras en appliques finement ciselés sur le thème de la rose moderne, avec ses cache-douilles à godrons (voir photo n° 17) très typiques de la production de Léon Hugue. Six branches égayées des bagues cylindriques à godrons et un cache-bélière aux bords drapés avec son petit poignard. La verrerie est composée d’une petite vasque centrale à deux gradins en verre moulé-pressé dépoli blanc, puis six tulipes dites « mignonnettes » à six pans en verre moulé dépoli blanc. La monture est frappée du monogramme de Léon Hugue « H L », suivie du numéro de la pièce (voir photos n° 13 et n° 14). Sept points lumineux à douilles baïonnette culot B22 dont six en appliques et un dans la vasque centrale.

Léon Auguste Hugue (Paris, 1878 – Clichy-la-Garenne, 1970) avait commencé sa carrière comme monteur en bronze. En 1907 il crée sa fabrique de bronzes d’éclairage au 14 rue Pierre Levée (voir photo n° 19). En 1913, il va créer une nouvelle société en commandite simple « L. Hugue, fabrique de bronzes et d’appareils d’éclairage » au numéro 10 de la même rue Pierre Levée. La société grandira et vers 1925 il va créer une usine au 68 rue des Rondeaux où il travaille avec l’aide de son fils Maurice Léon, monteur en bronze (voir photo n° 18). À l’Exposition Française de Madrid en 1927 il obtiendra le diplôme Médaille d’or au même titre que Francis Hubens. Étrangement, en 1932, Léon Hugue vendra sa société à Charles frères pour lui racheter deux ans plus tard en 1934 seulement l’usine du 68 rue des Rondeaux. À la mort de sa troisième épouse Marie-Félicie Foussard en 1938 (il aura au total quatre mariages), Léon Hugue doit acheter les parts de son épouse héritées par sa petite-fille Claudine-Jeanne Ranc, aussi petite-fille d’un autre grand fabricant de bronzes d’éclairage : Charles Ranc. Sa société sera active au moins jusqu’au début de la Deuxième Guerre Mondial. Léon Hugue décède à Clichy-la Garenne à l’aube de ces 92 ans.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LÉON HUGUE ET DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10339

Lustre Art Déco Léon Hugue et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Légèreté pour cet lustre de Léon Hugue dont la monture, en bronze argenté, date de la fin des années 1920 ou début des années 1930. Elle est constituée d’une partie centrale en pyramide triangulaire inversée avec des bords sobrement décorés et des têtes de vis rondes. Une fin de lustre richement décoré en artichaut et son poignard, pièce largement utilisée par Hugue dans la composition de ses lustreries (voir image n° 15). Trois longues tiges font la liaison avec le cache-bélière aux bords drapés avec son petit poignard dégradé de trois boules. Le monogramme de la maison L. Hugue, à savoir « HL », est frappé sur chaque pièce des bords de la pyramide, ainsi que la numérotation correspondante au modèle de la pièce. La verrerie est composée de trois sabots en verre moulé-pressé dépoli blanc aux décors de pomme de pin. Cette verrerie, jamais signée, correspond à une sérié réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne, numéro de modèle 500 (voir les images de 17 à 21). Trois points lumineux en carrousel, un pour chaque sabot. tous à douilles baïonnette culot B22.

Léon Auguste Hugue (Paris, 1878 – Clichy-la-Garenne, 1970) avait commencé sa carrière comme monteur en bronze. En 1907 il crée sa fabrique de bronzes d’éclairage au 14 rue Pierre Levée. En 1913, il va créer une nouvelle société en commandite simple « L. Hugue, fabrique de bronzes et d’appareils d’éclairage » au numéro 10 de la même rue Pierre Levée. La société grandira et vers 1925 il va créer une usine au 68 rue des Rondeaux où il travaille avec l’aide de son fils Maurice Léon, monteur en bronze (voir image n° 13 et 16). À l’Exposition Française de Madrid en 1927 il obtiendra le diplôme Médaille d’or au même titre que Francis Hubens. Étrangement, en 1932, Léon Hugue vendra sa société à Charles frères pour lui racheter deux ans plus tard en 1934 seulement l’usine du 68 rue des Rondeaux. À la mort de sa troisième épouse Marie-Félicie Foussard en 1938 (il aura au total quatre mariages), Léon Hugue doit acheter les parts de son épouse héritées par sa petite-fille Claudine-Jeanne Ranc, aussi petite-fille d’un autre grand fabricant de bronzes d’éclairage : Charles Ranc. Sa société sera active au moins jusqu’au début de la Deuxième Guerre Mondial. Son filsLéon Hugue décède à Clichy-la Garenne à l’aube de ces 92 ans.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LOUIS VANDAMME – DEGUÉ BRONZE VIEIL ARGENT VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10285

Lustre Art Déco Louis VANDAMME – DEGUÉ en bronze vieil argent et verre moulé-pressé. Sublime travail de la monture en bronze vieil argent aux motifs floraux stylisés de la maison VANDAMME (Louis Émile Augustin VAN DAMME, Bruxelles, 1886 – Paris, 1955), avec le monogramme LV (Louis Vandamme) dans le  cerclage central de la monture. On retrouve le même cache-bélière et les même décors floraux dans un modèle du catalogue de 1932 (voir image n° 11). Le travaille de ciselure de la maison Vandamme était connu par la qualité de ces bronzes, leurs finesse et esthétique. Pour le montage de cet lustre Vandamme choisi les verreries moulés-pressées fabriquées aux Cristalleries de Compiègne par Les verreries d’art Degué, dont l’obus ou verrine n°507 dite « pâquerettes » et les tulipes n°532 (numérotation du catalogue du fabricant, voir images n° 19 et 10). Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus ou verrine.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL – VERDUN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10301

Lustre Art Déco Maurice Model (Cristalleries de Verdun) et verre moulé-pressé roses trémières. Une monture en bronze argenté composée d’un cerclage central en bronze argenté avec des décors rayonnants et et trois fleurs stylisées. Trois branches en appliques aux motifs rayonnants et ses cache-bélières. Trois tiges de tubes rectangulaires qui culminent vers un cache-bélière en bronze argenté avec des décorations florales stylisées.

La verrerie, composée d’une vasque-obus centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli et satiné dite « Roses Trémières » est sans doute des Cristalleries de Verdun, un de plus importants fabricants de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage mais aussi il oriente ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour la présentation des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model crée une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à la disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation en faisant mieux connaître la production française du verre à l’internationale. Les Cristalleries de Verdun serons fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resterons fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées M. Model Verdun, Verdun, Verdun France sont très remarquables dans la production des verriers français d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie des verreries produites à Verdun dont un méconnais le pourquoi de la non signature. On peut soutenir l’hypothèse que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage était celle qui n’indiquait ni le fabricant ni la provenance. On la retrouve les mêmes verreries dites « Roses Trémières » sur des nombreux catalogues de fabricants de luminaires des années 1930 (voir images n° 11 et 12). Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque-obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL (CRISTALLERIES DE VERDUN) ET ADOLPHE BLOCH

Réf. 10295

Lustre Art Déco Maurice Model (Cristalleries de Verdun). Une monture en bronze argenté composée de trois tiges descendantes et trois branches en appliques aux décors stylisés. Un cache-bélière en bronze argenté avec décoration de feuilles stylisées. Le monogramme « AB » correspond à cette monture dont on la retrouve notamment dans d’autres montages avec le même cache-bélière. Elle est probablement du bronzier d’éclairage bordelais A. Boyreau et Cie, successeur des Anciens Ateliers de Charles Gautier 1 à 7 rue Vilaris, Bordeaux.

La verrerie, composée d’une grande vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli et satiné est sans doute des Cristalleries de Verdun, un de plus importants fabricants de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage mais aussi il oriente ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour la présentation des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model crée une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à la disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation en faisant mieux connaître la production française du verre à l’internationale. Les Cristalleries de Verdun serons fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resterons fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées M. Model Verdun, Verdun, Verdun France sont très remarquables dans la production des verriers français d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie des verreries produites à Verdun dont un méconnais le pourquoi de la non signature. On peut soutenir l’hypothèse que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage était celle qui n’indiquait ni le fabricant ni la provenance. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL-CRISTALLERIE DE VERDUN BRONZE CHROMÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10331

Lustre Art Déco Maurice Model – Cristallerie de Verdun en bronze chromé et verre moulé-pressé. Une monture en bronze chromé composée de trois tiges richement décorées d’un motif dit persan stylisé. Trois bras en appliques qui soutiennent la vasque centrale, décorés dans le même style. Des caches-douilles à double gradin en laiton chromé. Le cache-bélière, aussi en bronze chromé est richement décoré. La monture est frappée par le monogramme en grandes capitales M. M. à l’intérieur d’un rectangle, monogramme qui désigne une ligne de fabrication d’appareils d’éclairage créée par Maurice Model au début des années 1930.

La verrerie, composée d’une vasque centrale et trois coupelles en verre moulé-pressé couleur « champagne » à motifs rayonnants et géométriques, sont fabriquées à la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie tout de même des verreries produites à Verdun. On ignore pourquoi certaines verreries ne sont pas signées. Une hypothèse possible est que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage ainsi que celle destinée aux différents revendeurs, était celle qui n’était pas signé. On retrouve le modèle ici proposé sur un catalogue de 1935 (voir image n° 17 et 18) de FACEN (Fabrique d’Appareillage et des Câbles Electriques du Nord), société qui commercialisait, entre autre, des nombreuses luminaires de Maurice Model. Dans ce catalogue le modèle est appelé « Lustre Persane » (voir image n°17). Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »