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HETTIER & VINCENT / DES HANOTS : PAIRE DE LAMPES ART DÉCO DOUBLE FEUX BRONZE NICKEL-ARGENT

1 880,00

Réf. 20381

Hettier & Vincent / Des Hanots : paire de lampes Art Déco double feu bronze nickel-argent. Exceptionnelle paire de lampes de table à double feu de la célèbre maison parisienne Hettier & Vincent. Une véritable rareté sur le marché du luminaire Art Déco, car ici présentées en une paire, cette réalisation du duo Hettier & Vincent, est présente dans un catalogue du fabricant du début des années 1930, sous le modèle n° 8780 (voir images 11-15). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente, présente le même pied que sur le modèle n° 8780 du catalogue, mais avec la variante des tulipes au lieu des coupelles. Les pieds, en bronze nickel argent, dont la patine est d’origine, sont constitués d’une embase en roue à doubles gradins aux motifs rayonnants. Un double fût en forme de lyre qui part d’une pigne centrale à triples gradins. Des lyres et des boutons de serrage, typiques de la production d’Hettier & Vincent, qui permettent la fixation des tulipes. Les quatre tulipes, en verre moulé-pressé dépoli blanc sont d’une fabrication de la Verrerie des Hanots (Holophane) dont le nom « pâquerette » est donné dans un catalogue du fabricant (voir images n° 12, 13 et 16). Une vasque avec les mêmes décors est assortie avec ces tulipes. La fabrication de verrerie d’éclairage de la société Holophane, dont l’usine était située à Les Andelys (département de l’Eure), était signée sous la marque « Des Hanots », elles sont marquées assez souvent dans les moulages. Cette signature, on ne la retrouve pas systématiquement sur tous les modèles comme c’est le cas pour les tulipes ici présentées.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B15.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER & VINCENT / MODEL-VERDUN LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10384

Hettier & Vincent/Model-Verdun : lustre Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Élégance et sobriété pour cette réalisation du duo Hettier & Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929, modèle n° 8172 (voir images 13-15). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8172 dans le catalogue du fabricant), dont la monture en bronze argenté, est composée d’une partie centrale à double pigne, dont une descendante à gradins et une autre en vase fleur. Trois bras d’appliques à décors floraux qui s’imbriquent en continuité à trois tiges à section hexagonales. À chaque extrémité, les caches-douilles à godrons très caractéristiques de la maison. Un cache-bélière hexagonal à double gradin couronné d’un centre à motifs rayonnants. Sur le modèle présent dans le catalogue de 1929, ce lustre est présenté avec des tulipes en verre pressé de Baccarat. Ici, les points lumineux sont équipés de trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli et satiné légèrement rosé. Ce modèle de tulipes, appelées « Roses trémières », sont d’une fabrication des Cristalleries de Verdun, un de plus importants fabricants de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage, mais aussi, il oriente ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour la présentation des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model crée une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à la disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation en faisant mieux connaître la production française du verre à l’internationale. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées M. Model Verdun, Verdun, Verdun France sont très remarquables dans la production des verriers français d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie des verreries produites à Verdun dont un méconnaît le pourquoi de la non-signature. On peut soutenir l’hypothèse que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage était celle qui n’indiquait ni le fabricant ni la provenance. On la retrouve les mêmes verreries dites « Roses Trémières » sur des nombreux catalogues de fabricants de luminaires des années 1930 (voir image n° 16). Seulement la vasque de ce modèle est signée « M. Model Verdun » (voir images n°17 et 18). Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

HETTIER & VINCENT/DES HANOTS : SUSPENSION GLOBE BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 30391

Hettier & Vincent/Verrerie des Hanots : suspension Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Élégance et sobriété pour cette suspension du duo Hettier & Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1930, modèle n° 8871 (voir images 8-11). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8871 dans le catalogue du fabricant), dont la monture en bronze argenté, est composée d’un cache-bélière ou pavillon hexagonal aux motifs rayonnants. Une chaîne dite « à gorge » (voir image n° 9) largement utilisée par Hettier &Vincent dans leurs luminaires. Une griffe à globe sans col relie la monture du globe en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs des pâquerettes et papillons ou un travail de repolissage est fait sur quelques parties des décors du verre. Le globe est une production de la Verrerie des Hanots, qui faisait partie de la société Holophane France, dont l’usine de production se trouvait aux Andelys, dans l’Eure. Les signatures « Des Hanots » correspondaient à celles de la fabrication des verreries d’art et de décoration telle la verrerie d’éclairage, les vases, les sculptures, et la verrerie d’architecture. En 1930, Holophane France devient la Société Anonyme Holophane, société entièrement française et complètement indépendante des entités anglaises et américaines. Hettier & Vincent utilisera pour ses luminaires beaucoup des verreries d’éclairage sorties des Andelys, certaines de façon exclusives ou presque.

Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

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HETTIER &VINCENT/VERRERIE DES HANOTS : SUSPENSION ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

750,00

Réf. 30392

Hettier & Vincent/Verrerie des Hanots : suspension Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette grande suspension du duo Hettier & Vincent est présente dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930, modèle n° 8615 (voir image 10). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8615 dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930), est composé d’un cache-bélière à motifs rayonnants et bordure supérieure perlée, élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerres. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le catalogue de 1929 (voir images n° 5 et 11). Trois gaines en maille d’acier, élément unique de la maison, servent de suspente et de passage des câbles électriques pour soutenir et alimenter en électricité la grande vasque de 45 cm de diamètre. Cette grande vasque en verre moulé-pressé rose poudré et aux motifs géométriques est d’une production de la Verrerie des Hanots. Si cette vasque n’est jamais signée et elle n’est pas une exclusivité d’Hettier & Vicent, on ne la retrouve jusqu’ici que dans certains modèles du même fabricant. La Verrerie des Hanots, faisait partie de la société Holophane France, dont l’usine de production se trouvait aux Andelys, dans l’Eure. Les signatures « Des Hanots » correspondaient à celles de la fabrication des verreries d’art et de décoration telle la verrerie d’éclairage, les vases, les sculptures, et la verrerie d’architecture. En 1930, Holophane France devient la Société Anonyme Holophane, société entièrement française et complètement indépendante des entités anglaises et américaines. Hettier & Vincent utilisera pour ses luminaires beaucoup des verreries d’éclairage sorties des Andelys, certaines de façon exclusives ou presque.

Trois points lumineux à douille baïonnette culot B22 (voir image n° 9).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

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HETTIER &VINCENT/VERRERIE DES HANOTS : SUSPENSION ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

780,00

Réf. 30398

Hettier & Vincent/Verrerie des Hanots : suspension Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette suspension du duo Hettier & Vincent est présente dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930, modèle n° 10403 (voir image 10). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 10403, dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930), est composé d’un cache-bélière à motifs rayonnants et bordure supérieure perlée, élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerres. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le catalogue de 1929 (voir image n° 12). Trois chaînes en bronze fondue, dites « à gorges » élément unique de la maison, permettant le passage discret des câbles électriques (voir image n° 13). La grande vasque de 45 cm de diamètre, en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des parties polis sur la fresque supérieure, est d’une fabrication de la Verrerie des Hanots (Holophane) dont le nom « pâquerette » est donné dans un catalogue du fabricant (voir image n° 11). Des tulipes avec les mêmes décors sont assorties avec la vasque (voir la paire de lampes en vente sous la Réf. 20381). La fabrication de verrerie d’éclairage de la société Holophane, dont l’usine était située à Les Andelys (département de l’Eure), était signée sous la marque « Des Hanots », ou « Verlys », elles sont marquées assez souvent dans les moulages. Cette signature, on ne la retrouve pas systématiquement sur tous les modèles comme c’est le cas pour la vasque présentée ici. La Verrerie des Hanots, faisait partie de la société Holophane France, dont l’usine de production se trouvait aux Andelys, dans l’Eure. La signature « Des Hanots » correspondait à celle de la fabrication des verreries d’art et de décoration telle la verrerie d’éclairage, les vases, les sculptures, et la verrerie d’architecture. En 1930, Holophane France devient la Société Anonyme Holophane, société entièrement française et complètement indépendante des entités anglaises et américaines. Pour ses créations, Hettier & Vincent intégrera une multitude de verreries d’éclairage, en grande partie fabriquées aux Andelys, dont certaines seront presque en exclusivité.

Trois points lumineux à douille baïonnette culot B22 (voir image n° 9).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

LEBRETON & USDIN : GRANDE APPLIQUE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 40404

Lebreton & Usdin : grande applique Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. L’applique proposée ici à la vente est une production de Lebreton & Usdin des débuts des années 1930 comme on peut le constater dans un catalogue commercial du fabricant sous le numéro de modèle 668 (voir image n° 8). La monture, en bronze argenté, est composée d’une grande platine en bronze argenté aux motifs géométriques, et un col descendant à section carrée. Cette grande applique est garnie d’une tulipe à six pans en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques assortie à ceux de la platine. Une barre d’accrochage est présente au dos de la platine, où l’on retrouve aussi le marquage 668 correspondant au numéro du modèle dans le catalogue commercial. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Lebreton & Usdin, était une maison spécialisée dans la fabrication de chaînes pour lustrerie et des crochets. Fondée par Paul Lebreton (Carentoir, 1880 – Garches, 1951) et Robert Usdin (Bychki, Russie, 1888), en 1922 en société en nom collectif au 10 rue Saint-Sébastien avec usine et bureau au Raincy (Seine-et-Oise). Il s’agissait d’une succession de l’ancienne maison Plasse et Usdin, fabrique d’accessoires pour l’éclairage et chaînes pour lustrerie avec les mêmes adresses pour les bureaux et l’usine. Robert Usdin était un inventeur d’origine russe, arrivé en France avant la guerre de 14-18, puis naturalisé français en 1928. Il était à l’origine de plusieurs inventions, comme celle de 1913, d’un nouveau crochet estampé se fixant aux murs les plus durs par une épingle. Son nom commercial sera celui de « crochet Lion ». Il était installé d’abord à Lyon où il se marie, puis au Raincy ou une lignée d’Usdin se sont établis depuis (voir image n° 9).

Paul Lebreton, fils de notaire, arrivé à Paris en 1900 depuis le Morbihan natal. D’abord employé de commerce, il va aussi se distinguer depuis 1905, dans le domaine des inventions et surtout dans le domaine de la santé et la chirurgie. Installé, lui aussi au 10 rue Saint-Sébastien en 1920, il va inventer un chariot tuteur pour faciliter aux enfants leurs premiers pas et par la suite, à leur servir pour apprendre à marcher. Cette invention sera d’utilité majeure, car ce chariot sera l’ancêtre du déambulateur moderne (voir image n° 10). En 1921, il sera à l’origine d’un autre brevet pour un procédé de fabrication de mailles de chaînes pour lustrerie avec dissimulation de fils, un fils de chaque côté de la chaîne. C’est ainsi qui naît l’union entre les deux inventeurs. Le mariage d’une sœur de Paul Lebreton avec le fabricant de bronzes d’éclairage Alphonse Krempff, va lui faciliter l’installation de la société au 72 rue Amelot où d’autre fabricants de bronzes d’éclairage comme Georges Vilbert (ancienne maison Krempff) et Henri Mouynet, avaient choisi ce domicile.

La société Lebreton & Usdin est dissoute à la fin des années 1930, après avoir souffert plusieurs contre-temps, dont un important incendie en 1933, dans leur usine du Raincy. Ensuite, les Établissements Robert Usdin sont créés, toujours au Raincy, dans la fabrication de cuivrerie pour l’éclairage. En 1940, Lebreton cède son fonds de commerce du 72 rue Amelot sous le nom « Établissements CHROM ».

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LOUIS LELIEF / SCHNEIDER : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10363

Louis Lelief / Schneider : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Simple et élégant, le lustre proposé ici à la vente est constitué d’une monture en bronze argenté dont un cerclage central de 25 cm de diamètre avec trois décors de coquilles. Trois appliques aux décors végétales stylisés, trois branches à sections carrées et un cache-bélière hexagonal à deux étages aux décors géométriques et sa graine pointue. Le monogramme du fabricant Louis Lelief (L L) est présent au dos de chaque coquille décorative (voir image n° 21). La verrerie est une production de la maison Schneider, modèle d’obus 1093 en verre moulé-pressé, très connue des amateurs du maître verrier d’Épinay-sur-Seine. C’est le modèle connu sous la dénomination « libellules ». Une vasque obus avec la signature moulée « Schneider France 1093 » et trois tulipes sur le même thème des libellules (voir image n° 22). Il arrive très souvent que les tulipes ne comportent pas la signature moulée du fabricant. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont une à l’intérieur de l’obus est trois en appliques.

Louis Alphonse Lélief (Paris, 1886 – 1950) avait commencé sa carrière vers 1903 en tant que ciseleur et monteur en bronze. Après avoir travaillé de longues années chez un estampeur – repousseur de métaux au 16 rue Villehardouin, Lelief reprend la même société et crée une nouvelle société en 1920, pour la fabrication de bronzes d’art et d’éclairage. Lelief, va fabriquer beaucoup de décors destinés aux différentes maisons de luminaires ainsi que pour sa propre production. Ses luminaires vont être réalisés dans le style Art Déco avec une partie de la production destinée aux modèles plus classiques, comme la plupart des fabricants de la période. Il va travailler essentiellement le bronze, en utilisant des verreries décorés ou en verre moulé-pressé des maisons tels Schneider, Gauthier, Muller, Sonover, Noverdy, Des Hanots, entre autres. Au cours des années 1930, fabrique sera démenagée au 1 rue Saint-Claude (voir images n° 23 et 24 du catalogue des années 1930), et restera active jusqu’en 1945 et en 1946. Une nouvelle société, « Lelief et Cie », sera constituée au 28 rue Saint-Claude au moins jusqu’à sa mort en 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO ANNÉES 1930 BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10364

Lustre Art Déco années 1930 en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Belle réalisation pour cet élégant lustre dont la monture est en bronze argenté. Il est constitué de trois bras d’appliques aux motifs géométriques et ses caches-douilles. Trois tiges à sections rectangulaires et un cache-bélière, finement ciselé, sur le thème de la marguerite. La verrerie est composé d’une grande vasque centrale de 45cm de diamètre en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des fines réserves claires. Trois coupelles sur le même thème des marguerites. Cette verrerie non signée est très probablement une production de Maurice Model et la Cristallerie de Verdun. Les quatre points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un dans la vasque centrale.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10308

Lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Magnifique monture en bronze argenté avec une esthétique et un travail de ciselure remarquables. Elle est composée d’une tige centrale avec une série des fûts de diverses formes et d’ornements, finissant avec une boule en guise de fin de lustre. Quatre branches en forme de crosses richement décorées sur le thème de la nature tels que les fleurs et les fruits dans un style si propre au mouvement Art Déco. Un cache-bélière semi-sphérique égayé des rangés de gouttelettes. La verrerie est composée de quatre tulipes en verre moulé-pressé dépoli avec une légère teinte bleu azurin aux motifs rayonnants vers le bas et végétales vers le haut. Ni la monture ni la verrerie n’ont pu être identifiées. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRERIE DES HANOTS ET ÉTABLISSEMENT GAUTHIER

Réf. 10325
Lustre Art Déco en bronze argenté verrerie des Hanots et Établissements Gauthier. Une monture en bronze argenté richement décorée des motifs floraux stylisés. Elle est composée de trois branches en appliques finement travaillées avec des motifs floraux stylisés. Trois tiges en bronze aux décors floraux stylisés. Un cache-bélière égayé aussi des motifs floraux stylisés. La monture est monogrammée « É » dont le fabricant n’a pas pu être identifier. La verrerie est composée d’un obus-vasque central (Verrerie des Hanots) et trois tulipes (Établissements Jean Gauthier), le tout en verre moulé-pressé blanc avec des motifs floraux et géométriques. Les quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO CÉLESTIN JAMAIN EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10340

Lustre Art Déco Célestin Jamain en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la maison Célestin Jamain présent dans le catalogue du fabricant de 1933 (voir images n° 15 et 16). Il est constitué d’une monture en bronze argenté et ciselé. Une partie centrale faite d’un cerclage aux motifs géométriques ciselés avec le monogramme « C. J. » correspondant à Célestin Jamain (voir image n° 12). Trois bras en appliques aux décors de volutes et ses cache-douilles à double gradin. Trois tiges en bronze fondu relient le tout avec le cache-bélière en bronze aux motifs rayonnants. La verrerie est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et rayonnants. Cette verrerie n’est pas signée, elle est sans doute un modèle exclusif de la maison Jamain qui, depuis sa création au XIX siècle, avait produit et commercialisée des verreries d’éclairage. Le modèle de verrerie ici utilisé reproduit les mêmes motifs que sur la frise du cerclage en bronze. Célestin Jamain lui-même était membre de la Chambre Syndicale de la Céramique et de la Verrerie, introduit en 1922 par Naud et Apcher. La maison Jamain faisait aussi appel à des verreries tels Degué, Schneider, etc, pour équiper ces appareils d’éclairage. Quatre points lumineux à douilles baïonnette culot B22 trois quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison JAMAIN est une ancienne entreprise qui commence son activité à la fin des années 1870. Hippolyte Louis Eugène JAMAIN, père de Céléstin JAMIN, était un fabricant d’articles d’éclairage qui en 1881, achète et s’associe à la Maison Laurent (ancienne maison Fontaine), fabricants d’articles d’éclairage au 216 rue Saint-Martin. C’est alors qui naît la Maison Jamin-Laurent. Entre temps, le père Jamain crée une autre société en 1886 « Jamain et Callerot » au 17 et 19 rue Gambey pour la fabrication de lampes et de verreries d’éclairage. Tant Jamain-Laurent comme Jamain et Callerot vont fabriquer de la verrerie d’éclairage. La société Jamain et Callerot sera dissoute en 1888, et seulement celle de Jamain-Laurent continuera son activité. En 1905, le fils, Hippolyte Célestin JAMAIN (Paris, 1878), représentent de commerce, prend la tête de la société qui s’appellera désormais C. JAMAIN, fabrique de bronzes d’éclairage, puis Établissements C. JAMAIN jusqu’en 1945. À partir de cette date un des fils de Célestin, Jacques Ernest JAMAIN (1916 – 2008), ancien joueur français de tennis, prend la direction, elle sera encore active aux moins jusqu’aux années 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER-DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

990,00

Réf. 10350

Lustre Art Déco Charles Boulanger et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à six pans sur laquelle six branches en appliques diffusent la lumière. Une tige centrale aussi à six pans et un cache-bélière dans le même esprit. À la fin de chaque bras d’applique des cache-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Six tulipes Degué en verre moulé-pressé rose poudré ou « Rosaline » avec des reserves claires, qui ne sont jamais signées. Seules les vasques correspondantes au même modèle sont signées, elles correspondent aux dernières créations sorties de la Cristallerie de Compiègne. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO HETTIER & VINCENT BRONZE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10320

Lustre Art Déco HETTIER & VINCENT en bronze et verre moulé-pressé. Une dentelle de ciselage en bronze doré pour cette réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929, et proposée en deux versions : une avec les chaînes dite « à gorge » et une autre avec des tiges rigides creuses en bronze fondu (voir images 14 et 15). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaire et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges (voir image 17). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 7305 dans le catalogue du fabricant ), est composé d’une partie centrale en forme de coupe ciselée qui évoque une dentelle avec des formes modernes. Quatre bras en appliques avec les caches-douilles à gaudrons très caractéristiques de la maison. Quatre chaînes dites « à gorges » (voir image 16) qui permettaient le passage discret des câbles électriques. Un cache-bélière richement décoré et utilisé par Hettier & Vincent, au même titre que le poignard de fin de lustre, tout au long de leurs productions dès la fin des années 1920 jusqu’aux années 1930. Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes en verre moulé-pressé dépoli blanc à taille diamant dont la fabrication n’a pas pu être identifiée. Hettier & Vincent, comme la plupart de fabricants, proposaient différentes verreries pour leurs créations. Le modèle en question était présenté dans leur catalogue de 1929 avec des tulipes en verre moulé-pressé de Baccarat (images 14 et 15),  mais ils pouvaient être montés avec d’autres modèles de tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LÉON HUGUE ET DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10339

Lustre Art Déco Léon Hugue et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Légèreté pour cet lustre de Léon Hugue dont la monture, en bronze argenté, date de la fin des années 1920 ou début des années 1930. Elle est constituée d’une partie centrale en pyramide triangulaire inversée avec des bords sobrement décorés et des têtes de vis rondes. Une fin de lustre richement décoré en artichaut et son poignard, pièce largement utilisée par Hugue dans la composition de ses lustreries (voir image n° 15). Trois longues tiges font la liaison avec le cache-bélière aux bords drapés avec son petit poignard dégradé de trois boules. Le monogramme de la maison L. Hugue, à savoir « HL », est frappé sur chaque pièce des bords de la pyramide, ainsi que la numérotation correspondante au modèle de la pièce. La verrerie est composée de trois sabots en verre moulé-pressé dépoli blanc aux décors de pomme de pin. Cette verrerie, jamais signée, correspond à une sérié réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne, numéro de modèle 500 (voir les images de 17 à 21). Trois points lumineux en carrousel, un pour chaque sabot. tous à douilles baïonnette culot B22.

Léon Auguste Hugue (Paris, 1878 – Clichy-la-Garenne, 1970) avait commencé sa carrière comme monteur en bronze. En 1907 il crée sa fabrique de bronzes d’éclairage au 14 rue Pierre Levée. En 1913, il va créer une nouvelle société en commandite simple « L. Hugue, fabrique de bronzes et d’appareils d’éclairage » au numéro 10 de la même rue Pierre Levée. La société grandira et vers 1925 il va créer une usine au 68 rue des Rondeaux où il travaille avec l’aide de son fils Maurice Léon, monteur en bronze (voir image n° 13 et 16). À l’Exposition Française de Madrid en 1927 il obtiendra le diplôme Médaille d’or au même titre que Francis Hubens. Étrangement, en 1932, Léon Hugue vendra sa société à Charles frères pour lui racheter deux ans plus tard en 1934 seulement l’usine du 68 rue des Rondeaux. À la mort de sa troisième épouse Marie-Félicie Foussard en 1938 (il aura au total quatre mariages), Léon Hugue doit acheter les parts de son épouse héritées par sa petite-fille Claudine-Jeanne Ranc, aussi petite-fille d’un autre grand fabricant de bronzes d’éclairage : Charles Ranc. Sa société sera active au moins jusqu’au début de la Deuxième Guerre Mondial. Son filsLéon Hugue décède à Clichy-la Garenne à l’aube de ces 92 ans.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »